Oakley félicite Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou, vainqueurs de la Transat Jacques Vabre ! / Nautique
Oakley félicite Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou qui ont franchi en grands vainqueurs la ligne d'arrivée de la 10è édition de la Transat Jacques Vabre le 18 novembre 2011. C'est à 09h 15mn 54s, heure française, soit 02h 15mn 54s, (heure locale) à Puerto Limon au Costa Rica à bord de leur monocoque 60 pieds Virbac-Paprec 3, que les deux navigateurs, équipés par Oakley ont touché la terre ferme après 15j 18h 15mm 54s de course.
Les deux nouveaux membres de la famille Oakley établissent ici un nouveau temps de référence sur le parcours Le Havre ' Puerto Limon. Ils améliorent le record précédent d'une heure et sept minutes. Un vrai beau moment de sport comme Oakley les aime : les deux hommes sont tombés dans les bras l'un de l'autre, tandis que sur le quai de Puerto Limon, les orchestres locaux accueillaient les vainqueurs de cette édition 2011...
C'est la troisième victoire de Jean-Pierre Dick dans la Transat Jacques Vabre après son succès en 2003 avec Nicolas Abiven et en 2005 avec Loïc Peyron, partenaire avec lequel il a aussi remporté cette année la Barcelona World Race. A bord de son plan Verdier-VPLP mis à l'eau en 2010, Jean-Pierre est en pleine spirale vertueuse, une réussite que connait aussi son co-skipper Jérémie Beyou, vainqueur cet été de la Solitaire du Figaro. Les deux hommes disputaient ensemble leur première course au large. Leur association est un succès.
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A son arrivée, le skipper niçois confiait : « Ca fait vraiment plaisir de gagner avec une telle avance. Et une troisième victoire dans la Transat Jacques Vabre, c'est beaucoup d'émotion car ça reste exceptionnel. C'est un peu de réussite mais aussi beaucoup de travail derrière. C'était une course difficile, un peu la face nord du Cervin. La première semaine était vraiment corsée. Beaucoup de vent. Nos bateaux sont devenus des machines de guerre. Dormir les premiers jours, ça a été un enfer, à cause des craquements du bateau. Au bout de deux jours, on a réussi à dormir mais le début de course a été difficile pour nous, on a mis du temps à trouver notre rythme et le bon mode de fonctionnement. On a bien raisonné avec Jérémie, bien réfléchi à nos objectifs. Puis la mayonnaise a pris. Nous avons pris la bonne route, la bonne option. Après, ça a été une bataille de vitesse avec Hugo Boss. On était dessus comme dit Jérémie. On est devenu intouchables car la surmotivation était là ».